Quelle tristesse c’était d’avoir aussi faim et de ne rien se mettre sous la dent. Pourtant, Greyback avait eu de nombreuses occasions de manger de la chaire fraiche, mais justement, il y avait trop goûté par les temps qui courraient. Il fallait qu’il s’en garde pour plus tard, et ce, même si les proies étaient tentantes et nombreuses. Vous connaissez tous Fenrir Greyback pourtant, non ? Du moins, un tout petit peu ? Ou tout simplement en avoir entendu parler ? Ce qu’il faut savoir, c’est que pour lui, la limite n’existe pas. Il a toujours faim. Cette constante envie de dévorer et déchirer la peau pour s’en nourrir. Il luttait de jours en jours pour ne pas se jeter sur le premier morceau qui se pointait, même si la tentation était très forte. Particulièrement quand il croisait des enfants, sa préférence.

Greyback passa une bonne partie de la journée sous sa forme humaine, si l’on pouvait dire cela comme ça. Il avait quand même ses allures de loup-garou, il était très poilu, était loin d’avoir une bonne hygiène corporelle et buccale, ses crocs étaient visible alors qu’il ouvrait la bouche, et il fallait le dire, lorsque l’on croisait son regard, c’était terrifiant. Plusieurs étaient terrifiés par le lycanthrope, c’était le but, il adorait être le pire cauchemar de certain et les menacer. Lire la peur et la terreur dans leurs yeux était pour lui d’un tel plaisir et cela lui procurait une telle satisfaction ! Il adorait être craint des autres, il n’y a pas à dire. Et présentement, c’était pire. Le seigneur prenait de plus en plus d’ampleur et il terrifiait, définitivement. Les sorciers avaient peur pour leurs enfants…et ils avaient raison.

Le soir arriva, doucement, la lune brillait dans le ciel, n’étant pas pleine. Mais peu lui importait, il pouvait prendre sa forme lycanthrope quand bon lui semblait, de toutes façons. L’heure de la chasse était ouverte, pour Greyback. Son plan ? Si jamais il croisait un enfant en cette douce soirée, il n’allait pas se gêner. C’était l’heure du repas, ils devraient le savoir, de toute façon, et puis tant pis pour eux, hein !

Durant sa tournée de la nuit, il crût voir une personne familière, mais il n’y croyait pas. Non, voyons, qu’est-ce qu’elle ferait ici, de toutes façons ? Par mesure de précautions, il décida de la suivre, discrètement, afin de voir ce qu’elle s’achetait. Pour avoir vu ces ingrédients plusieurs fois dans sa vie, il savait ce qu’elle manigançait. Une potion tue-loup. Il savait que Tonks et Lupin étaient proches, très proches…peut-être même trop ? Il ignorait, cependant, qu’ils formaient un couple. Il continut de la suivre, mais cette dernière se rendit compte qu’elle était suivie et se retourna. Il la suivait, tout bonnement, un sourire aux lèvres. Il se rendit compte bien rapidement qu’elle pressait le pas, ce qu’il fit également.

-Hé, voyons, attend, ma jolie ! Je veux simplement jouer, un peu !

Il finit par la rattraper et lui pris brusquement un bras pour qu’elle cesse de fuir. Il la força à le regarder, la sentit, lentement, puis il lui sourit de ses crocs monstrueux.

-Tu sens bonne, dis-donc. Presque autant que ton petit pote Lupin, dit-il avec un sourire maléfique. Alors ? On veut préparer une potion tue-loup pour son petit ami, on dirait bien ? Que c’est touchant !

Fuir... S'éloigner le plus vite possible de cet abominable personnage, ce monstre même, car au fond il n'était rien d'autre qu'un monstre. Seul un monstre, une créature sans aucune humanité, sans aucun coeur pourrait faire les choses qui fait. S'en prendre à des enfants, leur voler leur enfance quand il ne les tue pas... Tonks avait l'habitude de croire qu'en chaque être humain il pouvait y avoir du bon, même si il était caché au plus profond, mais face à lui ou à des individus comme sa tante Bellatrix ou encore Voldemort elle devait bien avouer qu'ils n'avaient aucune part de bonté, aussi infime soit-elle au fond d'eux. Comment pouvait-on être aussi mauvais?... Aimer autant faire souffrir les gens, par pur plaisir. Elle avait peur, le nier aurait été mentir. Mais comment aurait-elle fait pour ne pas avoir peur de lui? Elle avait entendu tellement de choses sur lui. Ce qu'il avait fait à Remus et à tant d'autres encore. Elle était terrifiée, et malgré qu'elle ait allongé le pas elle avait l'impression que ses jambes allaient céder sous son poids.

Elle allait se mettre à courir alors qu'elle venait de l'entendre s'adresser à elle. Cette fois, si elle ne transplanait pas immédiatement elle ne pourrait plus lui échapper. Si elle avait cru l'espace d'un instant qu'il ne l'avait pas vu se retourner et qu'elle pourrait lui échapper elle s'était bien tromper. Elle se sentait traquée, comme la proie d'un prédateur. Et au fond... Greyback était un prédateur. D'un seul coup elle sentit une poigne très puissante se resserrer autour de son bras la forçant ainsi à se retourner. Son coeur s'emballa soudainement alors qu'elle était juste face à lui, à lui et ses crocs acérés. Comme un animal... Une autre ressemblance avec une bête... Elle se senti comme paralysée, comme si ses jambes étaient de plomb et l'empêchait de bouger. Elle se sentait mal, elle craignait de défaillir et ce n'était vraiment pas le moment.

Pourtant elle sembla recouvrer ses esprits lorsqu'elle l'entendit prononcer le nom de Remus. Tout le mal qu'il lui avait fait ne lui suffisait pas? Il avait encore besoin de s'en délecter? De rappeler aux gens qui l'aimaient qu'il s'était acharné sur lui alors qu'il n'était encore qu'un enfant... Ce n'était plus seulement la peur qui animait la jeune femme à présent, c'était aussi la haine. Combien de fois avait-elle dit qu'elle aimerait se venger de lui, se venger de celui qui a détruit la vie de l'homme qu'elle aime. Elle tenta de se dégager de son emprise par un mouvement brusque mais n'y parvint pas. Tant pis, elle était à présent animée par la colère, qui combiner à sa peur la rendait plus forte. Elle ne devait pas lui laisser avoir le dessus.

« Vous pouvez parlez de Remus, mais vous ne le comprendrez jamais. Il est tout ce que vous n'êtes pas! Et contrairement à vous il a des gens qui l'aime et qui l'estime. Vous ..Vous n'êtes qu'une bête, pas lui! »

Non lui il était son exact opposé, tendre, attentionné et jamais il ne ferait du mal à autrui pour le simple plaisir de faire du mal. C'était pour ça que lui avait des amis, qu'il avait une petite amie contrairement à Greyback qui n'était rien d'autre qu'un pion de Voldemort.

« J'ai le droit de vouloir préparer une potion pour aider celui que j'aime! Si vous le vouliez on pourrait vous aidez aussi. Mais vous n'avez rien pour vous! Personne. Parce que vous ne le méritez pas. »

Au fond elle savait qu'elle n'aurait pas du le provoquer ainsi, mais c'était plus fort qu'elle, il l'avait cherché, il avait touché le point sensible, celui qui l'a mettait tout de suite hors d'elle. Qu'il s'en prenne à elle parce qu'il l'avait sous la main... C'était compréhensible mais qu'il parle de Remus.... C'était trop.

La crainte, il le voyait clairement dans son visage illuminé par la lune qui brillait dans le ciel sombre de la nuit. La peur de se faire dévorer ou mordre ce soir. Cependant, il n’avait pas envie, il aimait bien jouer un peu avec la nourriture avant de mordre à pleine dents dedans. Puis pourquoi ne pas en profiter un peu ? Il était un homme, il aimait être en présence de femelles et il en avait une très belle devant ses yeux : Nymphadora Tonks. Il savait très bien qu’elle était une auror et tout, mais elle restait une très jolie demoiselle quand même. Heureusement autant pour lui que pour elle, elle décida de ne pas fuite, et c’était une chance d’ailleurs. Il détestait les gens qui fuyaient au lieu de faire face à leur destin, bien que parfois tragique. Il se rendit compte assez rapidement que parler de Rémus Lupin, l’une de ses innombrables victimes, était pour elle un point faible chez elle. Ce qui le fit sourire encore plus. Une fois que Greyback trouvait le point faible de quelqu’un, il était très facile alors pour lui de faire souffrir sa victime. Il n’aima cependant pas vraiment la façon dont elle le provoquait. Ne savait donc t-elle pas tout ce dont il était capable de faire ? C’était un monstre, il était capable de la dévorer tout cru s’il le voulait. Mais, il n’était pas sous sa forme créature, donc il n’allait pas la manger.

-Comment ose-tu me parler de cette façon, femelle ?!

Il lui donna une bonne gifle en plein visage avant d’approcher son visage du sien. Il dégageait une odeur de sang, de poussière et de sueur. Certes, l’hygiène n’était pas son fort. Après tout, il était une créature à temps partiel, le trois-quarts de son temps, il était sous sa forme de loup-garou puisqu’il pouvait se changer autant de fois qu’il le désirait, donc il vivait un peu comme un animal, soit, il se foutait bien de sentir bon ou non. Il enfonça sa tête dans le cou de la jeune femme et la renifla afin de sentir sa délicieuse odeur. De ses longs ongles sales, jaunis et pointus, il ne se gêna pas pour lui laisser des jolies marques sur son bras. Il lui lança un regard noir.

-Tu n’as aucune idée de ce que je peux te faire, aucune ! Alors si tu ne veux pas finir comme ton crétin de petit ami, tu devrais me parler sous un autre ton, Nymphadora !

Il eut un rire mauvais.

-Je me souviens encore la fois ou j’ai fait de lui un loup-garou alors qu’il était encore tout jeune. Il était particulièrement bon, son sang était tout chaud et son regard innocent me regardait, je lisais la peur dans ses yeux, et j’ai aimé ça ! C’était même délicieux. J’adore les enfants, ce sont les meilleures victimes, dit-il avec un sourire de satisfaction. Mais j’aime bien croquer des jolies femelles aussi, une fois de temps en temps, j’aime leur peau douce et soyeuse…, ajouta-il en lui caressant la joue à l’endroit ou il venait de gifler.

Et c’était parti. Elle pleurait. Elle avait peur, sans aucuns doutes. Fenrir le voyait très bien dans ses yeux et le lisait très bien sur son visage. De son gros doigt poilu, il essuya ses larmes, sans la quitter du regard, comme un loup qui ne voulait pas perdre sa proie des yeux. Elle semblait être offusquée qu’il l’ait appelée ‘’Femelle’’. Et pourtant, Fenrir avait la mentalité d’un animal, pour lui, les femmes étaient des femelles, les enfants étaient des bébés et les hommes étaient des mâles. À la pensée qu’elle soit offusquée, il ne put s’empêcher de sourire. La pauvre Tonks était seule, il n’y avait personne qui se promenait à cette heure, c’était bien trop risqué de tomber sur des gens dangereux, comme Greyback, par exemple. Malgré la beauté de la métamorphomage, Greyback n’avait pas de cœur, aucune pitié.

-Je déteste les pleurnichards…, dit-il en sortant sa baguette.

Pourtant, elle semblait vouloir l’écouter, elle semblait comprendre qu’il ne fallait pas le contrarier, mais il en était trop tard. En fait, il ne fallait pas le contrarier une seule fois. Il était très susceptible et ce n’était un secret pour personne. Il allait cependant laisser tomber. De la pitié? Non. C’est qu’il avait peut-être d’autres plans pour la jeune femme. Il l’aurait bien essayé…quoi? Fenrir restait tout de même un homme, les hormones lui travaillaient et ce n’était pas tout les jours qu’il avait une jolie jeune femme devant lui, à sa portée! Et puis après, il la mordrait peut-être. Elle serait heureuse de toutes manières d’être comme son copain, non?

Cependant, elle interrompit ses plans assez rapidement en le contrariant une deuxième fois. Chose à ne pas faire en compagnie de Fenrir. Mais avouons-le : il n’y avait pas grand-chose à faire avec Fenrir. Il fallait tout simplement ne pas bouger et espérer. Espérer qu’il ne nous mordre pas, ne nous mange pas ou ne nous tue pas. Il fallait prier pour rester en vie, et c’était tout. C’était très rare s’en sortir intacte. Sous le coup de la colère, il repris sa baguette et la pointa sur la jeune femme.

-COMMENT OSES-TU ME REPRENDRE, FEMELLE?!, hurla t-il, visiblement très enragé. ENDOLORIS!

Il rigola un bon moment et la tortura un moment avant d’arrêter de la torturer.

-Sache, femelle, que jamais on ne contrarie Fenrir Greyback! JAMAIS!

Tonks était prise au piège, il n’y avait aucuns doutes là-dessus. Vraiment, elle venait de se foutre dans l’un de ces pétrins incroyables. Comment allait t-elle s’en sortir? Non mais quelle question, elle ne s’en sortirait pas, voyons. Personne n’échappe à Greyback! Quels étaient donc ses plans avec la jolie jeune femme? Il avait l’intention de l’essayer, il avait envie d’elle. Ensuite, il la mangerait, probablement. Mais certes pas d’un seul coup, non. Il allait y aller petit morceau par petit morceau afin de faire durer le moment, prendre le temps de bien déguster son repas. Il y avait si longtemps qu’il n’avait pas dégusté de femelle. Habituellement, c’était les enfants, et bien qu’il adorait, le plaisir était souvent de très courte duré. Cette fois, il allait en profiter.

L’entendre crier ainsi lui fit un bien fou. Il aimait l’entendre et la voir souffrir autant par terre, entendre son cri persan dans la nuit, sachant très bien que personne ne se pointerait le bout du nez afin de venir la sauver. Elle à lui et rien qu’à lui, ce soir. Une fois qu’il arrêta, il se précipita comme un vrai loup sur sa proie et la pris encore une fois, pour faire en sorte qu’elle ne s’échappe pas. Il la regarda le supplier de la laisser partir, de ne pas lui faire de mal ainsi que tout le tralala habituel qu’il avait tant l’habitude d’entendre de la part de ses pauvres victimes, tout juste avant qu’il en finisse. Greyback rigola et l’attira vers lui, avec ses doigts qui ressemblaient bien étrangement à des griffes.

-Jamais tu ne rentreras chez toi, je vais te dévorer…, dit-il en la reniflant une nouvelle fois. Avec mes griffes je vais déchirer ta chaire, continua t-il en lui faisant une nouvelle blessure avec ses griffes. Le sang commençait à couler de la plaie assez profonde. Il approcha sa gueule de la blessure et, avec sa langue, il lécha le sang qui coulait.

C’était bon, il aimait sentir le sang chaud couler dans sa gorge. Il n’était pas un vampire, mais il restait un monstre. Il aurait pu s’en nourrir. Pour lui, le sang était comme son eau. Présentement, c’est comme s’il était déshydraté. Ce n’était là que son hors d’œuvre. Elle goûtait si bon qu’il en perdit presque la notion du temps, présentement, il se régalait.

Petit à petit, il l’avait, c’était comme un souper que, tranquillement, on prépare. Il y prenait goût et ne pouvait s’empêcher d’en manger quelques parties avant d’en finir complètement avec elle. Était-ce de sa faute si elle avait si bon goût ? Il dévorait son innocence et sa peur des yeux. Les larmes coulaient sur les joues de la jeune femme, joues que Greyback ne se gêna pas pour aller lécher avec sa grosse langue rugueuse et dégoutante. Il lécha ses larmes, comme si c’était son breuvage, le gout salé des larmes, encore toute chaudes. Peut-être était-ce les dernières que Tonks aura versées dans sa vie ? Cette pensée le faisait vraiment rire.

Les derniers moments de la vie normale de ses victimes étaient très souvent ses meilleurs. Que voulez vous, c’est bien Fenrir Greyback. Il aime la souffrance des autres, les voir souffrir alors que lui, il se régale comme un petit goinfre. Cependant, il profitait peut-être un peu trop du moment. Pourquoi ? Parce que, en l’éclair d’un seul instant, Tonks parvint à le repousser. Déstabilisé, se demandant ce qui venait de se passer, il n’eut guère le temps de faire quoi que ce soit que Tonks lui jeta un sort qui ralentit tout ses mouvements. Et puis merde ! Comment avait t-il pu être aussi stupide ? Il avait littéralement laissé sa proie, entre ses griffes ! Comme un vrai débutant !

Cela lui apprendra à jouer avec la nourriture, phrase que sa maman lui avait très souvent répété alors qu’il était encore tout jeune, alors qu’il était, comme bien des enfants, innocent, ne cherchant qu’à s’amuser, sans la moindre méchante pensée en tête et ne voulant du mal à personne. Ce Fenrir, il était mort. Il était mort le soir ou il était devenu lui-même un loup-garou, et était parti à tout jamais puisqu’il avait laissé la bête prendre le contrôle de lui-même.

Déstabilisé, et surtout, très lent, Fenrir regarda Tonks, on pouvait clairement voir la colère et la haine dans ses yeux. Il s’en voulait, et surtout, il lui en voulait de s’en sortir aussi facilement. Il essaya par tous les moyens de bouger plus rapidement et chercher sa baguette.

-Tu le regretteras ! Tu le regretteras un jour !

Des regrets ? Des remords ? De la culpabilité ? De la pitié ? Tous ces mots ne faisaient point parti du vocabulaire de Greyback. Haine, méchanceté, sang, souffrance et douleur étaient cependant plus courants. Le seul et unique regret que Fenrir avait présentement était d’avoir été aussi stupide et d’avoir laissé filer ainsi sa proie alors qu’il la tenait pourtant fermement. Bien entendu, il espérait que personne n’entende parler de cette triste soirée parmi les mangemorts, sinon, bonjour la honte ! Avec les mangemorts, nous n’avions pas le droit à l’erreur, sinon c’était les foudres du Lord que l’on s’attirait.

Il la regarda s’en tirer, péniblement et profondément triste et déçu de voir une si jolie et délicieuse proie filer de la sorte. Elle prenait ses affaires, et il resta là, totalement impuissant. Il tenta par tout les moyens, de toutes ses forces, de bouger, d’accélérer, mais le sort qu’elle lui avait jeté était très puissant, et fallait avouer que Tonks était très douée. Ce ne sont pas tous les sorciers qui pouvaient jeter des sorts aussi efficaces.

C’est alors que Tonks transplana, le laissant là, sans même avoir jeté le contre-sort pour qu’il puisse s’en aller. Cela aurait t-il été une bonne idée, de toutes façons ? Si elle avait jeté le contre-sort, il aurait eu le temps de s’emparer d’elle tel un chat sur une souris et la bouffer toute crue, sans prendre le temps de jouer un peu avec sa nourriture.

Greyback resta donc là, tout seul, dans la nuit, attendant que les effets du puissant sortilège de dissipent d’eux-mêmes. Ou alors attendre que quelqu’un passe afin de le menacer de lance ce fichus contre-sort pour qu’il puisse enfin se mettre quelque chose sous la dent, son estomac criait famine et ce, depuis des heures !